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chroniques.

reflexions sans importance sur un monde sans importance

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Plus ça va et plus je réalise combien je suis superficiel. Chaque confrontation avec un/une autre me renvoie a ma propre incompétence, au vide sidéral qu'est ma vie.

Dans ces conditions, assez logique que j'essaie par tous les moyens de la fuir, mais là encore, je reste superficiel. Ai je vraiment envie de fuir cette vie, dont je m'accommode au final assez bien. Ne suis je pas dans la pause constante, une forme de mensonge ?

IL faut que je prenne le temps de lire plus et mieux, afin d'alimenter ma réflexion sur moi meme, sur les autres..

Je ne suis qu'un type commun qui aimerait ne pas l'etre, sans avoir les atouts et qualités nécessaires à son élévation spirituelle, cérébrale.

Je me hais, sincerement, profondément.

Seul l'oubli de ce que je suis peut m'apporter la sérénité. Comment ?

 

Ecrit par fabienland, le Mardi 6 Janvier 2004, 16:12 dans la rubrique "".

Commentaires

barbarella

barbarella

06-01-04 à 16:49

Oublier ce que tu es est irréaliste.
Penser que tu es inintéressant est subjectif, seul l'autre avec un grand L peut te le dire.


Re:

Ethane

06-01-04 à 22:00

Ah oui on peut pas divorcer de soi-même ;) -


laurent51

laurent51

08-01-04 à 17:15

Lorsqu'on est superficiel, je ne pense pas qu'on s'en rende compte.
C'est peut etre ça d'ailleurs le secret du bonheur : la bêtise et la superfialité qui évitent les remises en questions !

Tu n'es pas un être extraordinaire. Soit. Moi non plus remarque. Est ce que cela suffit à te disqualifier ? A te haïr ? Je ne pense pas.
Les autres que tu rencontres ont des choses, des connaissances que tu n'as pas, certains traits de personnalité que tu envies. Mais toi, de ton coté, tu as aussi des cotés qu'ils n'ont pas.
Personne ne peut être parfait.

D'ailleurs, je suis fermement convaincu que nos défauts font partie de nous. Qu'il faut travailler pour les aplanir, mais ne pas les nier complètement, car ils nous représentent en partie.
Je citerai cette phrase de Cocteau :
"Ce qu'on te reproche, cultive le. C'est toi!"

Bye


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