chroniques.

asile

..comme les buts que je me suis fixé sont hors de ma portée, je "m'autorise" donc tous les comportements possibles ou l'inaction totale parfois, puisque, de toutes façons, je ne serai jamais à la hauteur de mes espérances..

Soleil dans mon bureau ce matin. Je me prépare un café nespresso, je regarde la masse de dossiers sur mon bureau et je déprime..mon café est prêt, quelques journaux m'attendent sur la table basse. Je m'assieds confortablement dans un des fauteuils, je déguste mon café, un jus d'orange frais, je parcoure les journaux professionnels et je me dis que la journée va encore être trop courte.

La réorganisation de ma biz unit, et de notre réseau a l'échelon national se poursuit. Déjeuner avec le Big Boss qui commence a réfléchir avec ses principaux collaborateurs sur le sujet, voulait connaître mon sentiment. Je le lui donne. Nous n'avons pas le même point de vue sur tout, mais dans l'ensemble nous sommes plutôt "raccords"..

Deux conséquences importantes de cette réorganisation quelle qu'en soit la forme finale et aboutie : des licenciements à annoncer (ce qui implique de désigner les partants), un possible retour en province pour moi. Bien sur, je n'ai sur le plan personnel pas grand chose a perdre. Je viens d'être parachuter Président d'un Directoire, les licenciements ne me concernent pas a priori et cette réorganisation va sans doute me permettre d'obtenir de nouvelles responsabilités.

Tout va plutôt pas mal, alors pourquoi ce sentiment de malaise..

F

Ecrit par fabienland, le Jeudi 24 Février 2005, 09:46 dans la rubrique "".