chroniques.

obrigado bis

2eme essai et 2eme échec : tout mon post efface juste avant de le sauvegarder..

A L arrivée a Rio, tôt le matin, il faisait déjà 27deg et plus de 30deg 2 heures plus tard quand je plongeai dans la mer sur Copacabana beach...

bien que ce voyage soit hautement professionnel (la société paie...), j ai pu m amenager quelques plages loisir..

Je dois en profiter pour prendre un peu de couleurs, lire et comme je suis un éternel optimiste, ai pris les livres en conséquence : mars de Zorn que je dois finir sinon la psy va me frapper, deux M. Duras dont la douleur', l'ennui de Morovia, industrie de l'holocauste, bref que du joyeux. Ai comme même acheté les inrock a l aéroport et je m'aperçois que Sophie Calle y collabore, ce qui est une bonne surprise. Le coût du travail et la misère étant ce qu'ils sont au Brésil, il y a des tonnes de petits boulots, comme celui qui gare et surveille votre voiture, les vendeurs a la ''sauvette'' , et un métier qui équivaut a celui des caissiers d'autoroute dans la catégorie des métiers que je souhaite ne jamais devoir être oblige de faire pour vivre : ascensorista ou quelque chose d approchant. En gros, une personne placée a l intérieur de l ascenseur et qui appuie pour vous sur l étage demande, et ce, toute la journée. Certains (privilégiés ?) on un petit tabouret et travaillent donc assis dans cet espace confine, ferme..

Passage chez Stern pour un ''petit'' cadeau a ma douce dont je demande livraison a mon hôtel la veille de mon départ, ce qui me permet de laisser sous la responsabilité de Stern la pierre que constitue mon achat...cette entreprise est parfaitement organisée sur le pan commercial. dans la plupart des hôtels, vous pouvez obtenir un pass vous permettant de visiter gratuitement les ateliers, puis bien sur il vous faut passer par un salon de vente ou un conseiller (sélectionné en fonction de votre nationalité pour que les tractations se fassent dans votre langue) essaie de ne pas vous laisser partir les mains vides. Ce qui est ''interessant'' c est plutôt le fait que ce pass vous autorise a prendre n importe quel taxi dans rio, faire a peu près le tour que vous voulez puis finir chez Stern qui prend en charge la course, ainsi que celle vous raccompagnant jusqu q l endroit de votre choix, en général l hôtel, tant je n aimerais pas me promener dans la ville avec un bijoux de valeur dans la poche ou dans un sac.

Une petite anecdote amusante sur la sécurité dans cette ville réputée comme extrêmement violente. Je demande a l un de mes interlocuteurs si cette ville est aussi dangereuse qu on le dit, et il me répond ''non, pas vraiment; tu sais, on a de la chance ou pas...''

Passe une partie de l après midi a la plage, 34 deg, le bruit des vaguelettes mourant sur le sable me rappelant mon enfance, passée en partie sur de belles plages, loin du monde et de ses préoccupations..

Tout va bien pour moi, alors pourquoi ce sentiment étrange que ce 'bien' en question ne me suffit pas, plus ?

Fabien

CF, J : merci..

Ecrit par fabienland, le Lundi 28 Février 2005, 21:20 dans la rubrique "".